Edito automne 2012
EDITO - 10/2012 - Pour remettre en place la pratique du dériveur en double!
Qu’est ce qu’on attend pour être heureux ? (Air connu…) Qu’est ce qu’on attend pour faire naviguer tous nos bons 4’7 ?
La question revient toujours : pourquoi tant de bateaux restent bâchés au fond de garages n’accrochant plus que les rêves de leurs anciens équipages? Et comment les réveiller ? Pourquoi si les anciens n’ont plus la forme pour continuer à naviguer, ne savent-ils transmettre le flambeau aux jeunes générations? Ces bateaux superbes ne seraient soit disant plus capables de donner de plaisir au seul titre qu’il n’y a plus l’étiquette « nouveau » taggée dans les voiles ? Il faut être bien aveuglés par les démons de la toute puissante fuite en avant du « toujours plus » pour y croire. D’ailleurs on avait déjà conscience des limites du « toujours plus » il y a 50 ans à la création de notre bateau quand André Cornu a conçu ce bateau « du juste milieu » entre le Vaurien et le 420 d’un coté, et le 5O5 et le FD de l’autre. |