Coupe Jacques Lapchin 2016 - Le CR d'Olivier

Temps très peu engageant ce dimanche 02/10 de bonne heure pour partir régater. Averses soutenues sur l'autoroute et manches à air à l'horizontal...
Arrivé à Ardres, la pluie n'était pas au rendez vous, ce qui a remis de la motivation à l'équipage FRA 2381.
13 470 au rendez vous et 5 IND dériveur doubles qui couraient en décalé par rapport à nous.
5 manches courues sur la journées, 2 le matin , 3 dans l'après midi avec un vent orienté nord nord-ouest (si je me souviens bien) donc qui arrivait un peu de la gauche dans l'axe du plan d'eau.
Fidèle à son habitude, celui ci était un peu 'tordu' avec quelques sensations au près ... qui ne sont pas terminées en baignade pour notre part.
La rumeur dit que Christian et Philippe auraient nagé après la ligne d'arrivée?
Au portant, la trajectoire rectiligne était une option téméraire qui a cependant porté ses fruits à quelques reprises, la trajectoire idéale était une espèce de grand S pour se recentrer sur le plan d'eau.
Repas sur la terrasse au soleil : quelle chance! vite rappelé par le comité de course (Michel) qui était rigoureux sur le timing (pluie soutenue annoncée en fin de journée).
Bravo pour avoir managé les courses d'un doigt de maitre seul dans le bateau comité.
Le parcours était du type banane (1 3 1 3 arrivée) de par la direction du vent.
Dernière manche en parcours réduit afin de respecter le délai de sortie de l'eau.
Coté course, les leaders habituels se sont battus pour la première place et Thierry a remporté la course sur ses terres.
De notre coté, chose inhabituelle, Julien Nollet nous a donné bien du fil à retordre et a terminé devant FRA 2381 : félicitations à lui et à son coéquipier.
LES RESULTATS COMPLETS
Le 1er Classic est Julien Nollet
Sortie de l'eau à l'heure annoncée, résultats proclamés sous un pâle soleil... et sitôt attelé: le déluge
Olivier LUC - FRA 2381

"Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer !" C'est un dicton que l'on a mis en pratique aujourd'hui.
Donc départ vers 5h15 de Caen pour arriver à Saint Jean le Thomas où une cale semble propice à nous laisser embarquer vers des aventures nautiques. Le temps de descendre les bateaux des remorques, de les gréer et de se changer, Philippe, le jovial gérant de la paillote, avait préparé café et croissants chauds. Cela motive alors le premier changement de programme : on boude le café dans la thermos et on s'attable pour déguster le deuxième petit déjeuner. Tant pis pour l'horaire de départ... on laisse monter la mer, comme ça on tirera moins les bateaux sur le sable. 
Samedi 9 juillet
Après un premier barbecue dégusté, les choses sérieuses commencent : on se met à l'eau dans du vent de SW supérieur à 15 nœuds, sous un grand soleil.
Vous êtes en manque de navigation ? Vous guettez l'arrivée tant espérée des "beaux jours" ? Votre bateau piaffe d'impatience ? Vous vous demandez si vous rentrez encore dans votre combinaison car ça fait longtemps que vous ne l'avez pas enfilée ? Vous aimeriez découvrir de nouveaux plans d'eau ?
Vous savez sûrement situer la rade de Brest... mais en avez-vous exploré tous les recoins ? Vous naviguez régulièrement en Bretagne, en Normandie ou ailleurs en France, mais vous n'êtes pas contre une excursion chez les voisins pour vérifier si l'eau y est aussi mouillée ? 
Neptune en colère ce samedi : ciel bas, gris foncé, ne nous laissant qu’une pénombre déprimante, douche à pommeau horizontal (le robinet d’eau chaude confisqué, bien sûr !) poussée par le vent furibond. De quoi faire regretter la douceur hors saison des journées précédentes… Hélas, On commençait à y croire au réchauffement climatique.

Vous êtes invités au club d' Ablon le samedi 20 février à partir de 10h

Tous deux foncent depuis la région Parisienne pour arriver devant le SRB ou il y a personne ! Pas de 470 en préparation sur le parking, personne dans les locaux qui sont fermés, bien que nous avons une heure devant nous pour valider les inscriptions. Au bout de deux coups de fil on nous dit que la régate est organisée depuis le Pôle Voile Brest à quelques 200m de là. On arrive devant, on voit une ou deux têtes connues, mais un seul bateau sur le parking devant l’énorme bâtiment et hangar du pôle. Quelques minutes plus tard les portes du hangar s’ouvre pour dévoiler une quinzaine de beaux 470 tous grées, voiles hissées prêts à partir. Enfin rassurés d’avoir trouvé la régate et les concurrents on se dépêche de gréer.

















